Asturies 2012 : S-2
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Asturies 2012 : S-2
Vendredi soir, dans deux semaines jour pour jour, on se dirigera vers le bateau qui nous emmènera à nouveau vers Gijón. On a tellement aimé l'année dernière qu'on a resigné pour un tour. Avec des potes en RT100 ce coup-là.
Le choix du tracé cette année a été cornélien : entre reprendre des routes où on a pris tellement de plaisir et en découvrir d'autres, sortir des grands itinéraires sans mettre en péril la RT (moins passe-partout et accusant plus de Km au compteur), varier les paysages...
En tous cas, j'ai déjà pris mon pied à tracer ça.
Reste plus qu'à prévoir un périple de secours, plus au sud des fois que la météo...
J'entends les Vario dans le garage qui trépignent. Je vous laisse, il faut que j'aille les calmer.
NB : pour pouvoir utiliser les liens positionnés ici ou là, vous devrez en principe vous inscrire. C'est dommage, mais c'est comme ça.
Le choix du tracé cette année a été cornélien : entre reprendre des routes où on a pris tellement de plaisir et en découvrir d'autres, sortir des grands itinéraires sans mettre en péril la RT (moins passe-partout et accusant plus de Km au compteur), varier les paysages...
En tous cas, j'ai déjà pris mon pied à tracer ça.
Reste plus qu'à prévoir un périple de secours, plus au sud des fois que la météo...
J'entends les Vario dans le garage qui trépignent. Je vous laisse, il faut que j'aille les calmer.
NB : pour pouvoir utiliser les liens positionnés ici ou là, vous devrez en principe vous inscrire. C'est dommage, mais c'est comme ça.
Dernière édition par DT125 le Dim 28 Juil 2013, 12:49 pm, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Asturies 2012 : S-2
Bon. Aujourd'hui je suis allé faire remplacer le boudin arrière. J'ai fait monter la même chose que ce qui avait été mis devant : Tourance EXP.
J'ai profité du retour pour le dégommer sur toute la surface.
Pendant que le mécano faisait son boulot, j'ai demandé à tester une 1200GS. Putain, quel train avant !
J'ai profité du retour pour le dégommer sur toute la surface.
Pendant que le mécano faisait son boulot, j'ai demandé à tester une 1200GS. Putain, quel train avant !
Invité- Invité
Re: Asturies 2012 : S-2
H-2,5 : yes !
Voilà ce qui est prévu :
01-02 — 02-03 — 03-04 — 04-05 — 05-06 — 06-07 — 06-07bis — 06-07ter — 07-08 — 07-08bis — 07-08ter — 08-09 — 08-09bis — 09-10 — 10-11 — 11-12 — 12-13 — 13-14 — 14-15 — 15-16 — 16-17 — 17-18 — 18-19 — 19-20 — 20-21 — 21-22 — 22-23
Voilà ce qui est prévu :
01-02 — 02-03 — 03-04 — 04-05 — 05-06 — 06-07 — 06-07bis — 06-07ter — 07-08 — 07-08bis — 07-08ter — 08-09 — 08-09bis — 09-10 — 10-11 — 11-12 — 12-13 — 13-14 — 14-15 — 15-16 — 16-17 — 17-18 — 18-19 — 19-20 — 20-21 — 21-22 — 22-23
Dernière édition par DT125 le Dim 01 Juil 2012, 12:54 pm, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Asturies 2012 : S-2
Le bateau ? D'où pars tu donc ?
Quasimoto- Nombre de messages : 2749
Age : 67
Localisation : N46 10.294 W0 21.080
Moto : Africa Twin CRF1000L DCT 2016
Département : Deux-Sévres
Date d'inscription : 16/07/2009
Re: Asturies 2012 : S-2
Merci pour l'itiDT125 a écrit:H-2,5 : yes !
Voilà ce qui est prévu :
01-02 — 02-03 — 03-04 — 04-05 — 05-06 — 06-07 — 06-07bis — 06-07ter — 07-08 — 07-08bis — 07-08ter — 08-09 — 08-09bis —
09-10 — 10-11 — 11-12 — 12-13 — 13-14 — 14-15 — 15-16 — 16-17 — 17-18 — 18-19 — 19-20 — 20-21 — 21-22 — 22-23
Mais attention, on sait maintenant que tu pars de blegny.....on va tout savoir de toi
trailman- Nombre de messages : 2257
Age : 59
Localisation : Toulouse
Moto : f800gs
Département : Haute-garonne
Date d'inscription : 14/01/2010
Re: Asturies 2012 : S-2
Bon, nous voilà rentrés. Snif.
C'était trop bien. Et c'est peu dire qu'on a eu beau (sauf le matin du dernier jour).
Le pote avec sa RT a eu un peu de mal avec l'itinéraire sur les sections très tortueuses, étroites ou au revêtement aléatoire.
Du coup, on a redessiné quelques étapes et raccourci le périple (qu'on aurait de toutes façons été incapables de faire en entier sauf à parler d'abattage. On était là pour rouler, certes, mais aussi pour profiter du temps qui passe autour de quelques breuvages entre autres distractions). Sa fourche s'est avérée dribbler dans les courbes un peu trop serrées et limitait donc sa vitesse tout autant que sa confiance et celle de sa passagère (la prise d'angle est de toutes façons plus limitée avec un flat routier qu'avec un parallèle GS mais quand même) et le twin à air caréné a vite fait comprendre à ses occupants que le beau temps (il a fait jusqu'à 36° à l'ombre sur notre parcours) n'est pas obligatoirement le meilleur des amis. Protégés "dans" leur habitacle, ils ont souffert. Pour notre part, la bulle d'origine de la GS nous a laissé de quoi respirer sans nous protéger des innombrables insectes qui sont venus s'écraser sur l'écran du Schuberth. Mais à tout prendre, je préfère nettoyer la visière et ne pas crever de chaud. Pour ne rien arranger, la boîte de la mémère a commencé à se faire raide avec la chaleur.
Du coup, on a revu un peu les étapes pour éviter les routes trop lentes (notamment enfilant les lacets montants) où l'antique twin, trop sollicité et mal ventilé à base vitesse, mettait à mal son équipage et rappelait son âge dès que l'occasion lui en était donnée.
J'ai dû aussi abandonner l'idée de l'étape 12-13 constitué en partie d'un chemin (assez civilisé néanmoins pour une routière).
Pas grave, ça fera des étapes toutes tracées pour la prochaine.
Ça a aussi été l'occasion de se restreindre encore côté bagages (on est partis cette fois-ci avec les Vario en position serrée) et de tester l'ensemble Rallye 3 dans la fournaise du León. J'avais déjà apprécié la chose sous la pluie continue (avec la doublure étanche quand même). Là, même si j'ai hésité un moment à partir ainsi vêtu sous le cagnard, j'ai pu constater que les aérations sont plutôt bien pensées et rendent le déguisement supportable. Tant qu'on roule. Parce qu'une fois à l'arrêt, il est prudent de chercher de l'ombre pour ne pas se transformer en capteur solaire. Ce sont surtout les protections (genoux, coudes, dos) qui respirent mal. Pour le coup, je suis content d'avoir pris une taille assez grande pour laisser l'air circuler un peu. Mais cet ensemble est très polyvalent pour l'avoir porté de −5° à +36°.
Je me suis même fait le plaisir de retirer les manches un soir pour aller en moto au funiculaire de Bulnes (pour visiter le village du même nom). Look chasse et pêche garanti avec ma casquette
Sinon, pour ce qui nous concerne, la GS s'est montrée toujours aussi efficace. Une relance dans les sorties de courbes qui me met encore la banane et toujours cette impression de santé et de rigueur. Juste un peu plus de précontrainte pour les bagages et hop. Trop bonne.
En descendant sur Las Arenas (étape 17-18), on s'est fait rattraper par un K1600 qu'on avait vu dans le village précédent. Quand je l'ai vu dans le rétro (on reconnaît ses phares façon BM à 4 roues au premier coup d'œil), évidemment, pas question de rester sans réponse. J'ai lâché mon pote pour enquiller les courbes et montrer au 6 en ligne ce qu'un bi sait faire. En deux courbes, le K1600 ressemblait à n'importe quel scooter dans le rétro tellement il était loin Sur autoroute, ç'aurait été une autre chanson mais bon. J'ai fini par ralentir et le laisser passer pour attendre la RT et aller casser la graine à Poo.
Pour revenir à la petite bulle d'origine, elle a très bien protégé le GPS le matin du dernier jour où il a plu. Mais faudra que je prenne le temps de causer de ça une autre fois. Là, ya la lessive et tout un tas de choses à faire avant de retourner à la réalité.
Selon le jour, tu pars de France à 21H ou minuit et tu arrives en Espagne 15 heures plus tard, frais et prêt à attaquer les virolos.
Evidemment, ce n'est intéressant que pour ceux dont ça abrège le parcours (ou qui adorent prendre le ferry).
C'était trop bien. Et c'est peu dire qu'on a eu beau (sauf le matin du dernier jour).
Le pote avec sa RT a eu un peu de mal avec l'itinéraire sur les sections très tortueuses, étroites ou au revêtement aléatoire.
Du coup, on a redessiné quelques étapes et raccourci le périple (qu'on aurait de toutes façons été incapables de faire en entier sauf à parler d'abattage. On était là pour rouler, certes, mais aussi pour profiter du temps qui passe autour de quelques breuvages entre autres distractions). Sa fourche s'est avérée dribbler dans les courbes un peu trop serrées et limitait donc sa vitesse tout autant que sa confiance et celle de sa passagère (la prise d'angle est de toutes façons plus limitée avec un flat routier qu'avec un parallèle GS mais quand même) et le twin à air caréné a vite fait comprendre à ses occupants que le beau temps (il a fait jusqu'à 36° à l'ombre sur notre parcours) n'est pas obligatoirement le meilleur des amis. Protégés "dans" leur habitacle, ils ont souffert. Pour notre part, la bulle d'origine de la GS nous a laissé de quoi respirer sans nous protéger des innombrables insectes qui sont venus s'écraser sur l'écran du Schuberth. Mais à tout prendre, je préfère nettoyer la visière et ne pas crever de chaud. Pour ne rien arranger, la boîte de la mémère a commencé à se faire raide avec la chaleur.
Du coup, on a revu un peu les étapes pour éviter les routes trop lentes (notamment enfilant les lacets montants) où l'antique twin, trop sollicité et mal ventilé à base vitesse, mettait à mal son équipage et rappelait son âge dès que l'occasion lui en était donnée.
J'ai dû aussi abandonner l'idée de l'étape 12-13 constitué en partie d'un chemin (assez civilisé néanmoins pour une routière).
Pas grave, ça fera des étapes toutes tracées pour la prochaine.
Ça a aussi été l'occasion de se restreindre encore côté bagages (on est partis cette fois-ci avec les Vario en position serrée) et de tester l'ensemble Rallye 3 dans la fournaise du León. J'avais déjà apprécié la chose sous la pluie continue (avec la doublure étanche quand même). Là, même si j'ai hésité un moment à partir ainsi vêtu sous le cagnard, j'ai pu constater que les aérations sont plutôt bien pensées et rendent le déguisement supportable. Tant qu'on roule. Parce qu'une fois à l'arrêt, il est prudent de chercher de l'ombre pour ne pas se transformer en capteur solaire. Ce sont surtout les protections (genoux, coudes, dos) qui respirent mal. Pour le coup, je suis content d'avoir pris une taille assez grande pour laisser l'air circuler un peu. Mais cet ensemble est très polyvalent pour l'avoir porté de −5° à +36°.
Je me suis même fait le plaisir de retirer les manches un soir pour aller en moto au funiculaire de Bulnes (pour visiter le village du même nom). Look chasse et pêche garanti avec ma casquette
Sinon, pour ce qui nous concerne, la GS s'est montrée toujours aussi efficace. Une relance dans les sorties de courbes qui me met encore la banane et toujours cette impression de santé et de rigueur. Juste un peu plus de précontrainte pour les bagages et hop. Trop bonne.
En descendant sur Las Arenas (étape 17-18), on s'est fait rattraper par un K1600 qu'on avait vu dans le village précédent. Quand je l'ai vu dans le rétro (on reconnaît ses phares façon BM à 4 roues au premier coup d'œil), évidemment, pas question de rester sans réponse. J'ai lâché mon pote pour enquiller les courbes et montrer au 6 en ligne ce qu'un bi sait faire. En deux courbes, le K1600 ressemblait à n'importe quel scooter dans le rétro tellement il était loin Sur autoroute, ç'aurait été une autre chanson mais bon. J'ai fini par ralentir et le laisser passer pour attendre la RT et aller casser la graine à Poo.
Pour revenir à la petite bulle d'origine, elle a très bien protégé le GPS le matin du dernier jour où il a plu. Mais faudra que je prenne le temps de causer de ça une autre fois. Là, ya la lessive et tout un tas de choses à faire avant de retourner à la réalité.
C'est la liaison Saint-Nazaire—Gijón (en fait, Montoir—Gijón).Quasimoto a écrit:Le bateau ? D'où pars tu donc ?
Selon le jour, tu pars de France à 21H ou minuit et tu arrives en Espagne 15 heures plus tard, frais et prêt à attaquer les virolos.
Evidemment, ce n'est intéressant que pour ceux dont ça abrège le parcours (ou qui adorent prendre le ferry).
De rien. C'était la préparation (avec un bon rab au cas où on abattait du km). Comme évoqué, l'itinéraire réellement emprunté est quelque peu différent.trailman a écrit:Merci pour l'iti
Blegny ?trailman a écrit:on sait maintenant que tu pars de blegny.....on va tout savoir de toi
Invité- Invité
Re: Asturies 2012 : S-2
Parcours réel :
Bon, cette année, il y avait bien plus de motards au départ (et certaines motos n'étaient pas des BMW). Soit la ligne rencontre de plus en plus de succès ou juin est plus couru que septembre. Ou les deux.
01-02 : ça commençait mal. Le GPS n'arrivait pas a accrocher le signal et j'avais tracé à travers la zone portuaire, réservée au seuls usagers autorisés. Mais bon, à ce stade, on est content d'être sortis du bahut et on a pas envie de se pourrir les vacances pour si peu.
02-03 : avec un arrêt à la chapelle de Cadavedo pour admirer la côte et l'anse où se trouve une petite plage protégée et magnifique. On a d'ailleurs pris un pot dans la petite gargote en admirant les gosses dans leur maillot de foot rouge ; le match Espagne-France de l'Euro2012 avait lieu le soir même. Justement, à Navia, on est allé à se faire des tapas à la sidreria Antolin pendant le match. Très sympas et pas chers chez Antolin. On était sous la tonnelle, près de la sortie. Vue l'ambiance, on était assez contents que la France perde. Comme aucun(e) de nous n'est accro au foot...
03-04 : étape nominale et sans grand intérêt. Simple jonction.
04-05 : si vous passez par là, ne ratez pas l'occasion de vous arrêter au bar Portillo dans le petit port de Rinlo. Le meilleur café de notre voyage, un petit coin sympa et une gentillesse extrême impossible à oublier. A notre arrivée aux "catedráis", la marée était haute et la visite depuis la plage impossible contrairement à l'année dernière. Ça nous a permis de voir ces structures sous un autre angle, depuis le haut.
05-06 : comme prévu, retour à Navia par l'autoroute pour se remettre aussi vite que possible en piste pour la suite...
06-07 (extrait) : au milieu de 06-07, un tronçon emprunte une route fortement dégradée (c'est un euphémisme). Ça permet de tester le serrage de la visserie. C'est là que la RT a manifesté ses premières résistances en maltraitant ses occupants et particulièrement son pilote. Une pause à l'ombre, tout en bas de Lendequintana, près d'une minuscule "cascade" permettra de se remettre les idées en place et dédramatiser la situation. Surtout qu'à partir de là, le revêtement s'améliore de mètre en mètre avant de rejoindre la route principale.
07-08bis : on a pris l'itinéraire bis en fin de compte. Après une pause bibine à Pola de Allande dans des conditions qui commençaient déjà à ressembler à une fournaise, on a préféré reprendre la route par une voie plus rapide pour ventiler la RT. Sur la place de Pola, plusieurs machines espagnoles étaient garées à l'ombre. On s'est posé à côté. L'année dernière, on avait fait étape à Pola à l'hôtel La Nueva Allandesa que je recommande. La patron parle un peu français et pratique des tarifs sympas. Il s'était occupé de notre repas de A à Z, jaja compris, pour pas cher. Cette année, on a dormi à Belmonte, l'étape la plus chère de notre parcours (trop fatigués par la chaleur pour faire le tour du patelin et chercher une alternative au Gran Hotel Cella). On a quand même pu négocier (presque −25%).
08-10 : on a complètement revu les étapes 08-09 et 09-10 histoire de passer par le puerto de Ventana où on a fait une pause avec les vaches avant d'aller chercher un endroit où piquer une tête dans le lac de los Barrios de Luna. Plus facile à dire qu'à faire. En fin de compte, on a trouvé un accès par ici.
10-11 : suivi de façon nominale, ce tronçon comporte lui aussi une section assez dégradée. L'environnement est plus aride que celui du début du voyage. Les vautours attendent qu'on tombe en panne pour bouffer... Le très beau temps qu'on a eu renforçait cette sensation d'isolement. Un peu avant Cármenes, on emprunte un très beau et court défilé où les varapeurs et les adeptes du canyoning viennent s'éclater. Un coin de fraîcheur où il fait bon faire une pause avant la plaine far-west qui lui succède. Si vous avez une petite faim ou une petite soif, ne manquez pas de vous arrêter à la Casa Amador (restaurante la Venta de Getino) ; accueil super sympa, cuisine familiale (pas de carte) et emplacement bien en vue pour garer les machines.
11-13 : étapes totalement revues pour le RT. On a laissé tombé l'idée du chemin initialement intégré à 12-13. Après avoir tenté un ralliement à Collanzo directement par le nord de Cármenes et rencontré un cul-de-sac à Piedrafita (ça devait passer en GS mais pas en RT), on a fait ce détour par la route d'Oviedo. Si l'étape ainsi revisitée n'est pas totalement inintéressante, elle aura été la moins attrayante du voyage. On rencontre quand même une section de 15Km à environ 10%, parfois plus, large et revêtue comme il faut pour arsouiller et bien arrondir ses pneus jusqu'au bord. En descente dans ce sens (depuis le puerto de Parajes), elle doit être plus marrante encore à monter. La montée vers Collanzo est de plus en plus sympa et fait vite oublier ce détour.
13-14 : encore une étape réalisée de façon nominale avec une pause casse-croûte dans la fraîcheur de l'aire de la fuente de Cuevas (dont l'eau est embouteillée un peu plus bas et réputée dans toute la région selon nos voisins de pastis). Que dire d'autre sinon que c'est roulant avec de belles épingles faciles, varié côté paysages, qu'on passe dans le plus haut village des Asturies avant de longer un lac au multiples méandres pour arriver dans la fournaise de Boñar où, même sous les arcades, la chaleur reste étouffante ?
14-15 : adieu Portilla de la Reina. Ce superbe petit patelin avec son auberge paumée, on voulait le revoir. Mais ça supposait de revenir sur nos pas ou emprunter les routes exigentes (mais ô combien superbes) du Valdeón (poussez jusqu'à Caín si vous êtes par là). On a donc fait pause pour la nuit à Riaño, cité reconstruite à neuf au dessus des eaux du lac qui ont englouti l'ancien village. L'église romane, elle, a été sauvée des eaux par un soigneux transport pierre à pierre. Riaño n'a rien de cassant mais les gens y sont sympas, les hôteliers accueillants et le matelas bienveillant (c'est peu dire qu'on était cassés en arrivant là ; personne ne voulait faire une borne de plus).
15-17 : comme pour d'autres étapes, on a révisé celles-là pour soulager le 100RT. Exit Portilla, ciao Caín, so long Valdeón. Quant à la boucle dans les hauteurs de Ponga, pfuiit ! Mais en fond de vallée, on a emprunté le superbe et long défilé qui mène à Cangas de Onis et la température est tombée à des valeurs plus raisonnables et la pluie un peu par terre, juste assez pour saloper les bécanes.
17-18 : pas grand chose sur cette étape sauf que le ciel est redevenu bleu et l'air chaud. On a rencontré plus de motos que sur le reste du parcours. Comme quoi on est allé chercher des routes pas trop courues. On s'est tiré une petite bourre avec un K16 et ses tuyères à six trous. Un peu en traître car c'était plus notre terrain que le sien. On a posé nos Vario à Las Arenas de Cabrales où le cagnard était revenu nous taper dessus. On s'est offert le funiculaire pour le village de Bulnes. Offert. Vaut mieux dire ça étant donné que justement, c'est pas donné. 21 euros et demi l'aller-retour. Mais ça aura été la seule "attraction" que nous nous serons payée du séjour. A l'arrivée, on a découvert un monument de l'univers moto 2 temps avant de rejoindre le village et de siffler un coup de cidre local est une cervoise obligatoire. Le soir, on est aller se faire arnaquer au bar El Orbayu. 9 euros les 10 anchois. Ils sont restés en travers, là. Du coup, on a levé le camp et on est allé dans la rue principale. Petit menu tout compris à sept cinquante, pif compris. Ça fait un distingo. Ce soir-là, l'Espagne jouait le Portugal en demie-finale. Re-ambiance.
18-23 : dernière petite étape pour revenir au port et visiter un peu Gijón avant de prendre le bateau. Il a commencé à rincer un peu après le départ. Mais la route est sympa jusqu'à Unquera. L'idée était d'aller au bout des Asturies avant de quitter les lieux. C'est là que ça a commencé à tomber sérieux. En plus, la route du retour est en travaux. Avec les camions et les engins, la route mouillée nous a ruiné les brêles. On voulait rouler en voyant la mer. Ben on n'a rien vu avant Llanes. Là, ça a commencé à se calmer ; on a fait une pause avant d'enquiller une dernière série de virolos menant à Gijón. A travers les eucalyptus on voyait l'océan. Prudence. La zone est plus fréquentée que ce qu'on a connu avant et on se retrouve fissa nez-à-nez avec des engins de toutes sortes.
Au retour, comme à l'aller, il y avait de nombreux motards. On les voyait traîner en ville quelques heures avant l'embarquement (facile, un mec qui roule par là avec un sac polochon sur la selle a certainement un truc derrière la tête).
La Guardia Civil et la Policia Portuaria nous ont réservé un accueil spécial ; déclarations, passage sous portique, inspection des bagages au scanner (les Vario passent pas, j'ai dû ouvrir et montrer le contenu du top-case) avant pose de scellés sur les bagages autorisés à monter en cabine. Le reste devait rester sur les bécanes. En fait, ça occupe ; on sait quoi faire en attendant le départ du bateau... à l'heure.
Arrivée en France, pareil : Gendarmerie et brigade cynophile. Surtout les voitures et les camping-cars ; les motos ont pu décoller sans problème.
Bon, cette année, il y avait bien plus de motards au départ (et certaines motos n'étaient pas des BMW). Soit la ligne rencontre de plus en plus de succès ou juin est plus couru que septembre. Ou les deux.
01-02 : ça commençait mal. Le GPS n'arrivait pas a accrocher le signal et j'avais tracé à travers la zone portuaire, réservée au seuls usagers autorisés. Mais bon, à ce stade, on est content d'être sortis du bahut et on a pas envie de se pourrir les vacances pour si peu.
02-03 : avec un arrêt à la chapelle de Cadavedo pour admirer la côte et l'anse où se trouve une petite plage protégée et magnifique. On a d'ailleurs pris un pot dans la petite gargote en admirant les gosses dans leur maillot de foot rouge ; le match Espagne-France de l'Euro2012 avait lieu le soir même. Justement, à Navia, on est allé à se faire des tapas à la sidreria Antolin pendant le match. Très sympas et pas chers chez Antolin. On était sous la tonnelle, près de la sortie. Vue l'ambiance, on était assez contents que la France perde. Comme aucun(e) de nous n'est accro au foot...
03-04 : étape nominale et sans grand intérêt. Simple jonction.
04-05 : si vous passez par là, ne ratez pas l'occasion de vous arrêter au bar Portillo dans le petit port de Rinlo. Le meilleur café de notre voyage, un petit coin sympa et une gentillesse extrême impossible à oublier. A notre arrivée aux "catedráis", la marée était haute et la visite depuis la plage impossible contrairement à l'année dernière. Ça nous a permis de voir ces structures sous un autre angle, depuis le haut.
05-06 : comme prévu, retour à Navia par l'autoroute pour se remettre aussi vite que possible en piste pour la suite...
06-07 (extrait) : au milieu de 06-07, un tronçon emprunte une route fortement dégradée (c'est un euphémisme). Ça permet de tester le serrage de la visserie. C'est là que la RT a manifesté ses premières résistances en maltraitant ses occupants et particulièrement son pilote. Une pause à l'ombre, tout en bas de Lendequintana, près d'une minuscule "cascade" permettra de se remettre les idées en place et dédramatiser la situation. Surtout qu'à partir de là, le revêtement s'améliore de mètre en mètre avant de rejoindre la route principale.
07-08bis : on a pris l'itinéraire bis en fin de compte. Après une pause bibine à Pola de Allande dans des conditions qui commençaient déjà à ressembler à une fournaise, on a préféré reprendre la route par une voie plus rapide pour ventiler la RT. Sur la place de Pola, plusieurs machines espagnoles étaient garées à l'ombre. On s'est posé à côté. L'année dernière, on avait fait étape à Pola à l'hôtel La Nueva Allandesa que je recommande. La patron parle un peu français et pratique des tarifs sympas. Il s'était occupé de notre repas de A à Z, jaja compris, pour pas cher. Cette année, on a dormi à Belmonte, l'étape la plus chère de notre parcours (trop fatigués par la chaleur pour faire le tour du patelin et chercher une alternative au Gran Hotel Cella). On a quand même pu négocier (presque −25%).
08-10 : on a complètement revu les étapes 08-09 et 09-10 histoire de passer par le puerto de Ventana où on a fait une pause avec les vaches avant d'aller chercher un endroit où piquer une tête dans le lac de los Barrios de Luna. Plus facile à dire qu'à faire. En fin de compte, on a trouvé un accès par ici.
10-11 : suivi de façon nominale, ce tronçon comporte lui aussi une section assez dégradée. L'environnement est plus aride que celui du début du voyage. Les vautours attendent qu'on tombe en panne pour bouffer... Le très beau temps qu'on a eu renforçait cette sensation d'isolement. Un peu avant Cármenes, on emprunte un très beau et court défilé où les varapeurs et les adeptes du canyoning viennent s'éclater. Un coin de fraîcheur où il fait bon faire une pause avant la plaine far-west qui lui succède. Si vous avez une petite faim ou une petite soif, ne manquez pas de vous arrêter à la Casa Amador (restaurante la Venta de Getino) ; accueil super sympa, cuisine familiale (pas de carte) et emplacement bien en vue pour garer les machines.
11-13 : étapes totalement revues pour le RT. On a laissé tombé l'idée du chemin initialement intégré à 12-13. Après avoir tenté un ralliement à Collanzo directement par le nord de Cármenes et rencontré un cul-de-sac à Piedrafita (ça devait passer en GS mais pas en RT), on a fait ce détour par la route d'Oviedo. Si l'étape ainsi revisitée n'est pas totalement inintéressante, elle aura été la moins attrayante du voyage. On rencontre quand même une section de 15Km à environ 10%, parfois plus, large et revêtue comme il faut pour arsouiller et bien arrondir ses pneus jusqu'au bord. En descente dans ce sens (depuis le puerto de Parajes), elle doit être plus marrante encore à monter. La montée vers Collanzo est de plus en plus sympa et fait vite oublier ce détour.
13-14 : encore une étape réalisée de façon nominale avec une pause casse-croûte dans la fraîcheur de l'aire de la fuente de Cuevas (dont l'eau est embouteillée un peu plus bas et réputée dans toute la région selon nos voisins de pastis). Que dire d'autre sinon que c'est roulant avec de belles épingles faciles, varié côté paysages, qu'on passe dans le plus haut village des Asturies avant de longer un lac au multiples méandres pour arriver dans la fournaise de Boñar où, même sous les arcades, la chaleur reste étouffante ?
14-15 : adieu Portilla de la Reina. Ce superbe petit patelin avec son auberge paumée, on voulait le revoir. Mais ça supposait de revenir sur nos pas ou emprunter les routes exigentes (mais ô combien superbes) du Valdeón (poussez jusqu'à Caín si vous êtes par là). On a donc fait pause pour la nuit à Riaño, cité reconstruite à neuf au dessus des eaux du lac qui ont englouti l'ancien village. L'église romane, elle, a été sauvée des eaux par un soigneux transport pierre à pierre. Riaño n'a rien de cassant mais les gens y sont sympas, les hôteliers accueillants et le matelas bienveillant (c'est peu dire qu'on était cassés en arrivant là ; personne ne voulait faire une borne de plus).
15-17 : comme pour d'autres étapes, on a révisé celles-là pour soulager le 100RT. Exit Portilla, ciao Caín, so long Valdeón. Quant à la boucle dans les hauteurs de Ponga, pfuiit ! Mais en fond de vallée, on a emprunté le superbe et long défilé qui mène à Cangas de Onis et la température est tombée à des valeurs plus raisonnables et la pluie un peu par terre, juste assez pour saloper les bécanes.
17-18 : pas grand chose sur cette étape sauf que le ciel est redevenu bleu et l'air chaud. On a rencontré plus de motos que sur le reste du parcours. Comme quoi on est allé chercher des routes pas trop courues. On s'est tiré une petite bourre avec un K16 et ses tuyères à six trous. Un peu en traître car c'était plus notre terrain que le sien. On a posé nos Vario à Las Arenas de Cabrales où le cagnard était revenu nous taper dessus. On s'est offert le funiculaire pour le village de Bulnes. Offert. Vaut mieux dire ça étant donné que justement, c'est pas donné. 21 euros et demi l'aller-retour. Mais ça aura été la seule "attraction" que nous nous serons payée du séjour. A l'arrivée, on a découvert un monument de l'univers moto 2 temps avant de rejoindre le village et de siffler un coup de cidre local est une cervoise obligatoire. Le soir, on est aller se faire arnaquer au bar El Orbayu. 9 euros les 10 anchois. Ils sont restés en travers, là. Du coup, on a levé le camp et on est allé dans la rue principale. Petit menu tout compris à sept cinquante, pif compris. Ça fait un distingo. Ce soir-là, l'Espagne jouait le Portugal en demie-finale. Re-ambiance.
18-23 : dernière petite étape pour revenir au port et visiter un peu Gijón avant de prendre le bateau. Il a commencé à rincer un peu après le départ. Mais la route est sympa jusqu'à Unquera. L'idée était d'aller au bout des Asturies avant de quitter les lieux. C'est là que ça a commencé à tomber sérieux. En plus, la route du retour est en travaux. Avec les camions et les engins, la route mouillée nous a ruiné les brêles. On voulait rouler en voyant la mer. Ben on n'a rien vu avant Llanes. Là, ça a commencé à se calmer ; on a fait une pause avant d'enquiller une dernière série de virolos menant à Gijón. A travers les eucalyptus on voyait l'océan. Prudence. La zone est plus fréquentée que ce qu'on a connu avant et on se retrouve fissa nez-à-nez avec des engins de toutes sortes.
Au retour, comme à l'aller, il y avait de nombreux motards. On les voyait traîner en ville quelques heures avant l'embarquement (facile, un mec qui roule par là avec un sac polochon sur la selle a certainement un truc derrière la tête).
La Guardia Civil et la Policia Portuaria nous ont réservé un accueil spécial ; déclarations, passage sous portique, inspection des bagages au scanner (les Vario passent pas, j'ai dû ouvrir et montrer le contenu du top-case) avant pose de scellés sur les bagages autorisés à monter en cabine. Le reste devait rester sur les bécanes. En fait, ça occupe ; on sait quoi faire en attendant le départ du bateau... à l'heure.
Arrivée en France, pareil : Gendarmerie et brigade cynophile. Surtout les voitures et les camping-cars ; les motos ont pu décoller sans problème.
Dernière édition par DT125 le Lun 25 Mar 2013, 6:31 pm, édité 31 fois (Raison : mise à jour)
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Re: Asturies 2012 : S-2
désolé ...mon Ipad a fait des siennes sur le coup ..;;
trailman- Nombre de messages : 2257
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Département : Haute-garonne
Date d'inscription : 14/01/2010
Re: Asturies 2012 : S-2
De drôles de siennes, en effet. Je ne comprends pas comment il a pu t'indiquer ça sans aucune info ! Trop forts les engins aujourd'hui ; ils sont capables d'avoir des avis totalement infondés. De plus en plus proches du comportement humaintrailman a écrit:désolé ...mon Ipad a fait des siennes sur le coup ..;;
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Re: Asturies 2012 : S-2
Inspection générale et nettoyage après notre périple : les petits éléphants Metzeler qui décorent le pourtour des Tourance ont été méthodiquement éliminés. Pas sûr qu'il en soit ainsi pour les prochains kilomètres, hélas...DT125 a écrit:Bon. Aujourd'hui je suis allé faire remplacer le boudin arrière. J'ai fait monter la même chose que ce qui avait été mis devant : Tourance EXP
Invité- Invité
asturie
Salut a tous
Super ton périple, j'ai eu la meme RT que ton pote, voyage a méditer pour l'avenir.
Super ton périple, j'ai eu la meme RT que ton pote, voyage a méditer pour l'avenir.
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Re: Asturies 2012 : S-2
Surtout que t'es pas loin du port de départ.
Franchement, fais-toi plaisir, c'est que du bonheur.
Franchement, fais-toi plaisir, c'est que du bonheur.
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Re: Asturies 2012 : S-2
Aprés tes cr sur les asturies , j'y ai fait une petite escapade de quatre jours ..et ce fut une riche idée , le coin est magnifique , tranquille et varié...je projette d'y retourner plus longtemps ....
trailman- Nombre de messages : 2257
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Re: Asturies 2012 : S-2
Ah ! Cool ! Je suis content pour toi.trailman a écrit:Aprés tes cr sur les asturies , j'y ai fait une petite escapade de quatre jours ..et ce fut une riche idée , le coin est magnifique , tranquille et varié...je projette d'y retourner plus longtemps ....
Tu as bien deux trois photos à nous montrer et quelque anecdote à rapporter.
T'y es allé quand ?
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Re: Asturies 2012 : S-2
ce fut bref...
tlse-bilbao(guggenheim)
bilbao-oviedo par potes, posada de valdeon,
quelques photos à venir....
tlse-bilbao(guggenheim)
bilbao-oviedo par potes, posada de valdeon,
quelques photos à venir....
trailman- Nombre de messages : 2257
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Re: Asturies 2012 : S-2
Potes - Posada, magnifique route !
On dirait qu'il ne faisait pas plus chaud que ça dis donc...
On dirait qu'il ne faisait pas plus chaud que ça dis donc...
Invité- Invité
Re: Asturies 2012 : S-2
Super temps, mais juste sans la doublure, fallait le soleil....DT125 a écrit:Potes - Posada, magnifique route !
On dirait qu'il ne faisait pas plus chaud que ça dis donc...
J'ai d'autres photos sympas mais l'ordi fait des siennes ...
Pas mal de neige sur les bas cotés aux cols mais pas sur la route,
Cela donne envie d'explorer les pistes de la région mais c'est super réglementé pour cause de parc naturel.
trailman- Nombre de messages : 2257
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Moto : f800gs
Département : Haute-garonne
Date d'inscription : 14/01/2010
Re: Asturies 2012 : S-2
Tu t'amuses déjà bien sur les petites routes (et certaines sur vraiment petites).
Il est assez facile de s'engager dans des cul-de-sac de plusieurs bornes et de finir par la piste pour rejoindre un autre point. Sans faire d'entorse à la réglementation.
Mais bon, je te rejoins. Respectons le pays et les gens qui nous accueillent.
Il est assez facile de s'engager dans des cul-de-sac de plusieurs bornes et de finir par la piste pour rejoindre un autre point. Sans faire d'entorse à la réglementation.
Mais bon, je te rejoins. Respectons le pays et les gens qui nous accueillent.
Invité- Invité
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